Toujours l'alchimie
Puisque l'on parle d'alchimie, j'en profite pour faire un lien avec mes deux articles : "Perceval et la vision intérieure" , et "La racine et le Surgeon" sur la nécessité de la relation avec une communauté de chercheurs dans un "centre initiatique" (j'aime bien la formulation "une communauté d'âmes chercheuses).
Dans de nombreuses gravures alchimiques (je pense ici aux gravures du XVIIème siècle) on voit dans les images représentant la phase finale de l'oeuvre, un tonneau. Soit un tonneau d'ou sort le feu, soit tenu par une main sortant du ciel (celle de dieu donc), soit marqué du signe du nouveau mercure et en train d'exploser - voir par exemple dans les gravures de MAIER, ainsi que dans le LION ROUGE ou dans le SOLEIL DORE DES PHILOSOPHES.
Ce tonneau désigne à chaque fois la provenance du feu sacré des sages. Le tonneau regroupe deux notions principales : le matériaux qui le constitue, le bois de chêne (la forêt des druides) et la façon dont il est constitué, les différentes planches, chacune en relation avec les autres de manière à former un récipient pouvant contenir ce feu suprême (on pourrait s'étendre davantage sur la constitution du tonneau, notamment sur l'aspect du cerclage). On retrouve là (dommage pour ceux qui pensaient que les alchimistes étaient de vieux loups solitaires) à nouveau cette notion de la communauté des initiés au milieu de qui se manifeste le feu : la racine et le surgeon.
Dans de nombreuses gravures alchimiques (je pense ici aux gravures du XVIIème siècle) on voit dans les images représentant la phase finale de l'oeuvre, un tonneau. Soit un tonneau d'ou sort le feu, soit tenu par une main sortant du ciel (celle de dieu donc), soit marqué du signe du nouveau mercure et en train d'exploser - voir par exemple dans les gravures de MAIER, ainsi que dans le LION ROUGE ou dans le SOLEIL DORE DES PHILOSOPHES.
Ce tonneau désigne à chaque fois la provenance du feu sacré des sages. Le tonneau regroupe deux notions principales : le matériaux qui le constitue, le bois de chêne (la forêt des druides) et la façon dont il est constitué, les différentes planches, chacune en relation avec les autres de manière à former un récipient pouvant contenir ce feu suprême (on pourrait s'étendre davantage sur la constitution du tonneau, notamment sur l'aspect du cerclage). On retrouve là (dommage pour ceux qui pensaient que les alchimistes étaient de vieux loups solitaires) à nouveau cette notion de la communauté des initiés au milieu de qui se manifeste le feu : la racine et le surgeon.
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