La coupe, un symbole universel
Le symbole de la coupe se retrouve en effet dans toutes les mythologies et toutes les religions. Les Chaldéens parlaient d’un vase d’où s’échappait l’arbre de vie et la coupe de jamschid en Perse, signifiait le salut et l’abondance. On retrouve cette notion dans le vase cosmogonique de Platon, la coupe d’Hermès et de Salomon, l’urne des anciens cultes à mystère. Les Parses possédaient un vase pyrogène tandis que les Egyptiens figuraient Serapis avec un vase sur la tête nommé gardal. Le hiéroglyphe qui signifie "Coeur" à la forme d'un vase. Le vase est l’endroit où se passe toute action.
Le symbole de la Lance lui-aussi se retrouve dans de nombreuses traditions. Ainsi, chez les Grecs, la lance d’Achille avait le pouvoir de guérir les blessures dont elle était à l’origine. Dans le symbolisme traditionnel, la lance figure la force divine, l'axe de la nouvelle conscience, comparable à la montagne dont le sommet représente le point sacré, la pinéale. Ce thème de la montagne sacré est présent dans toutes les traditions et chaque peuple à la sienne : l’Himalaya, le Fouziyama, l’Olympe, le Sinaï, l’Aboy en Iran.
« Le Graal figurativement est le calice avec l’hostie, le vin, la chair et le sang du Christ ; mystiquement c’est l’homme quand il est devenu le vaisseau où se déverse l’Esprit Saint ; hermétiquement, c’est la substance parfaite, la pierre philosophale qui dispense la quintessence de la vie. »(Jacquette Luquet-Juillet, Le Graal et le Temple, Le Mercure Dauphinois, p. 26)
Le symbole de la Lance lui-aussi se retrouve dans de nombreuses traditions. Ainsi, chez les Grecs, la lance d’Achille avait le pouvoir de guérir les blessures dont elle était à l’origine. Dans le symbolisme traditionnel, la lance figure la force divine, l'axe de la nouvelle conscience, comparable à la montagne dont le sommet représente le point sacré, la pinéale. Ce thème de la montagne sacré est présent dans toutes les traditions et chaque peuple à la sienne : l’Himalaya, le Fouziyama, l’Olympe, le Sinaï, l’Aboy en Iran.
« Le Graal figurativement est le calice avec l’hostie, le vin, la chair et le sang du Christ ; mystiquement c’est l’homme quand il est devenu le vaisseau où se déverse l’Esprit Saint ; hermétiquement, c’est la substance parfaite, la pierre philosophale qui dispense la quintessence de la vie. »(Jacquette Luquet-Juillet, Le Graal et le Temple, Le Mercure Dauphinois, p. 26)
Libellés : coupe, symboles, universalité
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